Nous voilà dans le « Palace». Pour le moment, que des murs qui luisent et suintent sous l’averse, un hall splendide et, nu, le trou béant d’une citerne, mais surtout, dévalant sous les fenêtres, le spectacle vertigineux d’un gouffre où les nuages se brassent, dévalent, roulent, s’étirent