Nous voilà dans le « Palace». Pour le moment, que des murs qui luisent et suintent sous l’averse, un hall splendide et, nu, le trou béant d’une citerne, mais surtout, dévalant sous les fenêtres, le spectacle vertigineux d’un gouffre où les nuages se brassent, dévalent, roulent, s’étirent
Ce qui règne au long de ces esplanades, c’est la nostalgie des abandons, c’est la douceur inquiète de ces parcs déserts où se complaît l’humeur de châtelains singuliers.