Nous voilà dans le « Palace». Pour le moment, que des murs qui luisent et suintent sous l’averse, un hall splendide et, nu, le trou béant d’une citerne, mais surtout, dévalant sous les fenêtres, le spectacle vertigineux d’un gouffre où les nuages se brassent, dévalent, roulent, s’étirent
Ce qui règne au long de ces esplanades, c’est la nostalgie des abandons, c’est la douceur inquiète de ces parcs déserts où se complaît l’humeur de châtelains singuliers.

Voir le texte intégral publié dans L’Eveil Economique de l’Indochine, 1925 “ Popokvil ? C’était le sommet inaccessible de la grande chaîne du Phnom Kamchay, la montagne par excellence, aussi renommée au Cambodge que le Fuji Yama au Japon. Il fallait entendre décrire ses sites inexplorés, ses grottes mystérieuses, refuges d’anachorètes, sa flore extraordinaire rappelant […]

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