Nous voilà dans le « Palace». Pour le moment, que des murs qui luisent et suintent sous l’averse, un hall splendide et, nu, le trou béant d’une citerne, mais surtout, dévalant sous les fenêtres, le spectacle vertigineux d’un gouffre où les nuages se brassent, dévalent, roulent, s’étirent
Le Val d'Emeraude évoque avec ses cultures savamment disposées en gradin, ses fleurs, ses arbres fruitiers, ses pâturages, son troupeau et son ruisseau, une de nos plus belles exploitations agricoles de France.
Ce 14 février 1925, une salle de bal avec orchestre et un dîner de luxe attendait les convives. Il y avait du champagne et du vin. Tout était prêt pour célébrer l’inauguration tant attendue du Bokor Palace Hôtel.  
Tous les légumes de France poussent au Val d’Eméraude où coule une rivière aux eaux vives : le Chos Prom. Le service de l’Agriculture y a installé une suite de jardins suspendus absolument merveilleux : potagers et fruitiers. Les fraises et les petits pois du Bókor sont réputés et tous les légumes sont donnés en cession, à des prix défiant toute concurrence, aux deux hôtels et aux particuliers qui en font la demande.

Le centre de repos de Forces Armées Royales Khmères accueillera les officiers, sous-officiers et soldats devant bénéficier de conditions parfaites de convalescence.

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Le Prince Norodom Sihanouk, Chef de l’État, inaugure la nouvelle Cité de Bokor le 2 janvier 1962

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La montée au Bokor est d’une extraordinaire beauté et une perpétuelle découverte d’arbres aux formes étrangescouverts de lianes et d’épithytes. 

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  Les soldats découvrent le Bokor Palace Fin 1972, alors que les troupes coréennes s’apprêtent à rentrer au pays, l’Etat-major reçoit des messages radio de soldats déclarés morts quelques six mois plus tôt. Tae-in Choi est envoyé sur le terrain pour une mission de sauvetage avec un peloton d’éclaireurs. A peine arrivés sur le point d’extraction, […]

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BOKOR «Faire œuvre d’historien ne signifie pas savoir “comment les choses se sont passées“. Cela signifie s’emparer d’un souvenir, tel qu’il surgit à l’instant du danger.1»

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